Madonna
Madonna, lorsqu’elle ne hurle pas de grossièretés, comme par exemple « Saluuut Paris, on va tout niquer ce soir ! » ou « Let’s go fuckers ! » assure un sacré show pour une quinquagénaire. Bon, elle chante toujours aussi faux, mais sa forme physique, ses chorégraphies, les moyens techniques et ses danseurs forcent l’admiration.
Madonna a la même bouche que ma cousine Isa.
Et moi j’aimerais bien les mêmes cuisses que Madonna.
Mais je ne voudrais pas être sa main, ni son danseur, ni sa guitare, ni sa cane, ni sa corde à sauter, parce qu’elle les frotte sur une partie de son anatomie qui au bout de 2h de concert ne doit plus tant que ça fleurer la violette…
Je ne voudrais pas avoir ses bras, à Madonna, il serpentent de veines, ouuuh ça fait peur.
Mais j’aurais bien piqué la casquette à ponpon en laine du grand black. Ou le t-shirt moulant en tissu technique du petit brésilien, ou encore le blouson en cuir camel du petit ami du gringalet de bonne famille.
Et j’aurais bien échangé ma rangée de dents du haut contre celle de la brune hollandaise au Hot Ticket.
Le spectacle était autant sur la pelouse que sur la scène.
On a passé un bon moment au stade de France, quoi.